Cahiers des mardis

De la gare au pôle multimodal

par Louis Mermin

Pages : 16 pages, couverture agrafée.

Prix : 2,50 € + port ( nous consulter )

Description : format A4 ( 21 x 29,7 cm ).


Depuis l’arrivée du premier train à Annecy le 3 juillet 1866, le modeste bâtiment de la gare a beaucoup évolué ! En 1977, la gare avait déjà beaucoup changé, on inaugurait une « gare mixte » ferroviaire et routière.

En 2013, la gare mixte a été repensée dans sa fonctionnalité, notamment avec la prise en compte du plan de circulation : elle a laissé place au « pôle multimodal » où l’on peut louer un vélo.

Louis Mermin, proviseur honoraire et par ailleurs philatéliste bien connu, à l’aide de plans et de photographies, a retracé minutieusement l’histoire de la gare d’Annecy et celle des différentes lignes ferroviaires.

La rue Carnot, vous connaissez ?

Par Danielle OBRINGER-GRELOT (2013)

Pages : 52 pages, texte et nombreuses photos, couverture agrafée.

Prix : 4,00 € + port ( nous consulter )
Description : format A4 ( 21 x 29,7 cm ).

Par ce titre qui se voulait gentiment provocateur, il s’agissait de démontrer qu’il y a beaucoup à apprendre sur un secteur que chacun d’entre nous fréquente très régulièrement. La conférencière Danielle Obringer-Grelot, guide-conférencière de l’agglomération d’Annecy, a parfaitement répondu à cette interrogation en nous présentant une histoire très complète de la rue et de ses places.

Elle a illustré son propos par de nombreux documents qui nous ont permis de découvrir des coins inattendus : patios, cours intérieures, montées d’escaliers... Elle n’a pas oublié l’aspect commercial de cette rue, nous invitant à cheminer d’un bout à l’autre pour retrouver les commerces d’hier et d’aujourd’hui, témoins de l’évolution de la ville.

Pour restituer l’intérêt de cette conférence, il nous a paru important de présenter dans leur quasi-totalité, non seulement le texte, mais aussi les nombreux documents photographiques qui y sont liés, ainsi qu’un schéma permettant de localiser les commerces. Voilà pourquoi ce Cahier est plus volumineux qu’à l’ordinaire.

Pourquoi Annecy est-elle "une capitale" ?

Par Bernard DEMOTZ ( 2013 )

Pages : 10 pages, couverture agrafée.

Prix : 2,50 € + port ( nous consulter )
Description : format A4 ( 21 x 29,7 cm ).

Le professeur Bernard Demotz avait à répondre à une question : Pourquoi Anecy est-elle "une capitale" ?

Comme il le dit lui-même, la question a de quoi surprendre puisqu'il faut avant tout se mettre d'accord sur la définition de ce qu'est une "capitale", notion qui n'apparaîtra que bien tardivement.

En fait, il s'agissait d'analyser les fonctions d'Annecy, siège de la cour du comte de Genève puis des Genevois-Nemours, princes apanagés. Bien entendu, à travers l'étude historique, l'avenir d'Annecy, chef-lieu du département de la Haute-Savoie, ne pouvait rester en dehors de la préoccupation du conférencier.

Le professeur Bernard Demotz, professeur émérite de l'Université de Lyon III, fin connaisseur de l'histoire savoyarde et président de l'Académie Florimontane, a magistralement répondu à l'interrogation des Amis du Vieil Annecy.

 

Annecy et le cinéma, une histoire en images

par Jean-Claude REY (2013)

 

Pages : 16 pages, couverture agrafée.
Prix : 2,50 € + port ( nous consulter )
Description : format A4 ( 21 x 29,7 cm ).

Jean-Claude Rey est un homme habité de passions, notamment pour la musique, la littérature et le cinéma.

En 2009, il avait évoqué l'histoire de la création des salles de cinéma dans notre ville à l'occasion de la conférence consacrée à cet industriel éclectique qu'avait été Fernand Reigner, propriétaire de deux cinémas.

Cette année 2013, Jean-Claude Rey a évoqué les films de "long métrage" qui ont utilisé Annecy et son lac pour leurs décors. Le conférencier nous a donné une liste exhaustive des tournages et nous a livré différentes anecdotes qui leur sont liées.

Il a illustré son propos par la projection d'extraits de films judicieusement choisis. Les participants ont été émerveillés par les images en noir et blanc de la descente du Veyrier en téléphérique : Maternité, un film de Jean Choux en 1934. Les séquences sélectionnées prouvent combien le cinéma permet de conserver la mémoire du patrimoine : ce que nous pouvons aussi vérifier avec Le genou de Claire ou Chère Louise, des films qui nous plongent dans la vie annécienne des années soixante-dix !

Jean-Claude Rey s'est judicieusement appuyé sur les services de la Cinémathèque des Pays de Savoie : une institution appelée à jouer un rôle de plus en plus important pour conserver les souvenirs de notre ville et de la Savoie.

 

Les cahiers des mardis du vieil annecy

Annecy, une ville en pierres. Les artisans du succès

Par Jean-Pierre Coudray ( 2013 )

Pages : 22 pages, couverture agrafée.
Prix : 2,50 € + port ( nous consulter )
Description : format A4 ( 21 x 29,7 cm ).

On connaît la compétence et la passion de notre sociétaire Jean-Pierre Coudray pour la géologie mais aussi sur d’autres sujets, ce qui nous a donné le plaisir de l’entendre au cours de différentes conférences.

Cette fois-ci, le conférencier nous conduits dans le Vieil Annecy pour une visite au cours de laquelle il nous fait découvrir, avec un certain humour, les calcaires, molasses et autres matériaux qui ont servi à construire les monuments et maisons du secteur historique. Il nous en donne aussi la provenance et nous livre mille détails sur leur utilisation, sans oublier les artisans qui les ont mis en oeuvre.

C’est donc un sujet original et bien documenté que nous présente Jean-Pierre Coudray, une « nouvelle pierre » pour la construction de la connaissance d’Annecy !

Petites chroniques annéciennes sous la restauration sarde (1815-1860)

Par Jean Viallet ( 2012 )

Pages : 32 pages, couverture agrafée.

Prix : 2,50 € + port ( nous consulter )
Description : format A4 ( 21 x 29,7 cm ).

Jean Viallet, dévoué secrétaire de notre Société, a dépouillé la presse et les délibérations des conseils communaux dans la période qui va de la restauration sarde après le traité de Paris de 1815, à la réunion de la Savoie à la France en juin 1860.

Sans aucun doute on sera ému par ce rappel de la vie quotidienne de nos aînés. On sera parfois étonné, parfois amusé, mais toujours surpris de la permanence des problèmes municipaux, tant ils restent d’actualité à plus d’un siècle et demi de distance.

On ne bénéficiera pas de l’humour mis par le conférencier dans son propos, mais on redécouvrira – ou découvrira – avec autant de bonheur cette chronique de la vie municipale annécienne si attachante.

La place du château d’Annecy

Par Jacinth Crozier et Michel Duret (2013)

Pages : 22 pages, couverture agrafée.

Prix : 2,50 € + port ( nous consulter )

Description : format A4 ( 21 x 29,7 cm ).

 

Ce cahier rassemble deux conférences prononcées le même jour.

 

LA PLACE DU CHATEAU : Étude archéologique et la mine de fer

Campagne de fouilles place du château (Jacinth Crozier)

On connait l’importance de la place du Château où l’on trouve la défense avancée du monument et le cimetière paroissial de l’église Saint-Maurice d’Annecy-le-Neuf. À l’occasion de l’aménagement de la place du château par la ville d’Annecy, le service régional d’archéologie a prescrit une étude et la fouille archéologique du site. Il est important de connaitre les conclusions de cette nouvelle campagne : a-t-elle apporté de nouveaux éléments ? Confirme-t-elle les travaux antérieurs ?

Pour répondre à ces interrogations, nous avons invité madame Jacinth Crozier qui a dirigé les recherches.

La mine de fer du château royal d’Annecy (Michel Duret)

Il est moins connu qu’une mine de fer a été exploitée dans les environs du château : certains observateurs ont été surpris en découvrant une galerie mise à jour lors des travaux du parking de la clinique générale. Michel Duret, président des Amis de Viuz-Faverges, a eu l’opportunité de retrouver les plans de la mine. Il les a présentés en rappelant que ce gisement minier avait donné lieu à différents conflits d’intérêts !

Les passionnés de l’histoire annécienne retrouveront ou découvriront avec beaucoup d’intérêt, les propos des deux conférenciers à travers leurs textes qu’ils ont bien voulu nous confier.