Cahiers des mardis

Cahier 68

Les acteurs de l'action sociale

par Pierre Lanternier

Pages : 18 pages, texte et photos, couverture agrafée.

Prix : 4€ + port ( nous consulter ).

Description : format A4 ( 21 x 29,7 cm ).

Dans le cadre de la programmation du cycle consacré aux Annéciens émérites des XIXe et XXe siècles, Pierre Lanternier nous a présenté plusieurs personnalités annéciennes qui ont œuvré dans le domaine social, que ce soit pour l’habitat ou en faveur d’œuvres ou d’associations caritatives.

Vous découvrirez dans les pages qui suivent peut-être des noms peu connus, mais dont l’action a été significative. Cette conférence de Pierre Lanternier, assistant de conservation aux archives municipales et conférencier fidèle à notre Société, est un hommage à la solidarité indispensable dans la vie communale.

Conférence tenue le 24 septembre 2019.

 

Cahier 67

Les archivistes et historiens au service d'Annecy et de la Haute-Savoie

par Julien Coppier

Pages : 38 pages, texte et photos, couverture agrafée.

Prix : 4€ + port ( nous consulter ).

Description : format A4 ( 21 x 29,7 cm ).

Avec sa réunion à la France, les Savoyards ont apprécié l’organisation d’un service d’archives dans chacun de leur département. Max Bruchet, Gaston Letonnelier et Joseph Serand, à qui avait incombé la mission pas facile d’organiser l’institution archivistique en Haute-Savoie, sont des noms bien connus par tous ceux qui s’intéressent à l’histoire régionale. Julien Coppier, directeur adjoint des Archives de Haute-Savoie, a tenu à leur rendre hommage au cours d’une conférence qui nous a permis de mieux connaître cette première génération d’hommes de l’art.

Conférence tenue le 9 avril 2019.

 

 

 Cahier 66

Défenseurs et détracteurs du Palais de lIle, sauvé de justesse

par Michel Amoudry

Pages : 36 pages, texte et photos, couverture agrafée.

Prix : 4€ + port ( nous consulter ).

Description : format A4 ( 21 x 29,7 cm ).

Les Annéciens savent que le Palais de l’île, appelé aussi les Vieilles prisons, était voué à une démolition certaine. Mais peu savent que son sort est resté incertain durant quarante années. C’est le feuilleton des décisions successives sur l’avenir du Palais de l’île que nous avons voulu présenter et commenter.

Sur une durée de près d’un demi-siècle, les contextes et les opinions publiques changent ainsi que les décideurs municipaux qui ont eu à tenir entre leurs mains le sort des anciennes prisons. Nous nous sommes attachés à retrouver les votes des différentes assemblées municipales et les raisons qui avaient déterminé leurs choix. Comme parfois en Histoire, il est difficile d’expliquer les causes profondes d’une destinée.

En tout cas, on frémit à l’idée qu’il s’en est fallu de peu pour que disparaisse, sinon un des monuments les plus photographiés de France, mais sans aucun doute, le plus emblématique d’Annecy !

Conférence tenue le 19 mars 2019.

 

 

 Cahier 65

Promoteurs d'équipements touristiques hardis

par Danielle Obringer

Pages : 42 pages, texte et photos, couverture agrafée.

Prix : 4€ + port ( nous consulter ).

Description : format A4 ( 21 x 29,7 cm ).

A la veille des vacances estivales, Danielle Obringer nous a offert une belle promenade à la recherche des idées, parfois assez inattendues, avancées, pour faire d’Annecy une station touristique recherchée. On n’avait pas froid aux yeux en imaginant un train à crémaillère qui, partant du bout de la rue de la République, aurait conduit les touristes au sommet du Semnoz. On sourit - ou on frémit - à la vision d’un Pâquier couvert d’hôtels et de casinos !

La conférencière nous livre un inventaire très minutieux de ce foisonnement de projets, illustré par de nombreux documents. Elle n’a pas oublié d’évoquer les différents personnages qui en furent les promoteurs : les Vallin, Ruphy, Fabre, Barut, Crolard..., sans oublier Camille Dunant, créateur du syndicat d’initiative annécien, un des premiers de France ; et André Paccard qui voulait moderniser le téléphérique de Veyrier avec une gare inférieure au bord de l’eau et un restaurant panoramique tournant sur la gare supérieure.

Conférence tenue le 28 mai 2019.

 

 

 Cahier 64

Jules Philippe : annécien républicain au service de la Savoie

par Bernard Premat

Pages : 32 pages, texte et photos, couverture agrafée.

Prix : 4€ + port ( nous consulter ).

Description : format A4 ( 21 x 29,7 cm ).

Quel Annécien ne connaît pas le quai Jules Philippe et son école familièrement appelée « école du quai Jules », ou encore « le quai Jules », première école publique d’Annecy ?

C’est à Bernard Premat, professeur honoraire de philosophie et secrétaire de l’Académie florimontane, que revenait l’honneur d’évoquer Jules Philippe, imprimeur et journaliste qui a chanté Annecy et la Savoie avec une plume toujours très en verve. Jules Philippe était aussi un homme politique, un libéral convaincu durant la période sarde, puis un opposant déterminé à l’Empire. Aussi, avait-il pleinement participé aux débuts de la IIIe République comme préfet de la Haute-Savoie durant la période de la guerre Franco-Prussienne de 1870-1871, puis comme député d’Annecy. C’était un ami de Gambetta. Homme d’idéal, il savait aussi faire la part des choses.

Bernard Premat a su tracer un portrait attachant d’un homme à la destinée originale, qui a toute sa place dans la galerie des personnalités annéciennes du XIXe siècle.

 Cahier 63

Les châteaux de Pringy :   Preméry et Monthouz

par Christian Regat

Pages : 18 pages, texte et photos, couverture agrafée.

Prix : 3€ + port ( nous consulter ).

Description : format A4 ( 21 x 29,7 cm ).

Christian Regat, vice-président des Amis du Vieil Annecy, est apprécié pour son érudition et pour la qualité de ses présentations : il n’a pas failli à sa réputation bien méritée.

Il a su passionner par la présentation archéologique et historique des châteaux de Monthouz et de Promery ou Preméry, deux maisons fortes construites sur le territoire de la commune déléguée de Pringy. Les explications étaient soutenues par des photographies originales prises par le conférencier lui-même. Depuis toujours ces forteresses contrôlaient le passage du Fier et les accès à Annecy, notamment depuis Genève.

Le conférencier a évoqué, avec le plaisir qu’on lui connaît dans cedomaine, les différentes familles qui ont possédé les châteaux et ontpu les marquer de leur empreinte. La famille de Monthouz, que l’on retrouve à Saint-Maurice, a souvent été citée.

Christian Regat n’a pas manqué d’évoquer l’histoire immédiate de ces constructions historiques qui avaient bien failli disparaître ; fort heureusement, elles ont maintenant un bel avenir devant elles.